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Alimentation : quel lien avec la santé orale… et celle de la planète ?

L’alimentation joue un rôle central dans la prévention des pathologies bucco-dentaires et dans la réduction de l’impact environnemental de la production et de la consommation alimentaires. Mais comment agir concrètement face à des enjeux systémiques et imbriqués, qui dépassent largement la seule question des apports en sucre?

Alimentation durable

Sommaire

L’alimentation joue un rôle central dans la prévention des pathologies bucco-dentaires. Privilégier une alimentation riche en fruits et légumes, légumineuses, céréales semi-complètes ou complètes et oléagineux, tout en limitant les aliments ultra-transformés et les sucres ajoutés, constitue une stratégie bénéfique à la fois pour la santé orale et globale. Bonne nouvelle, un tel modèle alimentaire permet aussi de réduire l’impact environnemental de la production et de la consommation alimentaires.
Mais face à ces enjeux systémiques et imbriqués, comment les professionnels de santé peuvent-ils agir concrètement ? Cet article propose un état des lieux et met en évidence un problème dépassant largement la seule question des apports en sucre : il est plus complexe, mais aussi plus crucial. Comment accompagner le changement, lorsque les habitudes alimentaires sont ancrées culturellement ?

Le sucre, mais pas seulement

Le rôle du sucre dans la cariogenèse est bien connu, car une déminéralisation de l’émail survient à chaque consommation de glucides fermentescibles. Les principaux responsables sont les sucres ajoutés, ou “sucres libres”, c’est-à-dire les sucres incorporés aux aliments et boissons par les fabricants ou les cuisiniers, ainsi que ceux naturellement présents dans des produits comme les boissons sucrées, le miel ou les sirops [1].

La prévention repose sur la réduction de la quantité et de la fréquence de consommation de ces sucres, en particulier en dehors des repas, par exemple en privilégiant l’eau comme boisson principale et en consommant des féculents et des fruits frais, peu cariogènes [2]. L’OMS recommande de limiter l’apport en sucres libres à moins de 10 % de l’apport énergétique total, voire 5 % pour un bénéfice optimal [3], soit environ 25 g (5 cuillerées à café) par jour chez l’adulte. Ce seuil est largement dépassé en France, y compris chez les enfants.

Mais l’influence de l’alimentation sur les pathologies bucco-dentaires va bien au-delà des caries. Ainsi, la parodontite, maladie inflammatoire chronique affectant les tissus de soutien des dents, est influencée par le régime alimentaire. Les régimes riches en sucres, graisses saturées, et aliments ultra-transformés favorisent une inflammation systémique de bas grade, ce qui augmente le risque de parodontite [4], et ce dès l’adolescence [5]. À l’inverse, des régimes alimentaires riches en fibres, céréales complètes, fruits et légumes, tels que les régimes méditerranéen [6], DASH, végétarien ou d’Okinawa, ont un effet protecteur sur les tissus parodontaux et renforcent l’immunité de l’hôte.

Par ailleurs, certaines carences en vitamines, minéraux et polyphénols aggravent les maladies parodontales [7]. L’alimentation peut également contribuer au développement d’autres pathologies des muqueuses et des tissus dentaires. Par exemple, les déficits en vitamine C, de plus en plus courants en France, y compris chez les enfants [8], entraînent une cicatrisation retardée, des saignements gingivaux et un défaut de formation du collagène. Les composés présents dans une alimentation riche en fruits et légumes, grâce à leurs propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires, anti-angiogéniques et antiprolifératives, contribuent, quant à eux, à prévenir le développement du cancer oral ainsi que d'autres types de cancer [9].

Une médiation métabolique explique les effets sur la santé orale et générale

La dysbiose est un déséquilibre du microbiote, altérant sa composition, sa diversité ou son fonctionnement. Or l’alimentation constitue l’un des principaux déterminants de l’équilibre du microbiote oral et intestinal. Ces dernières années, un changement de paradigme a bouleversé la compréhension des maladies polymicrobiennes comme les caries ou les parodontites. Par exemple, si Streptococcus mutans a longtemps été considéré comme le principal agent responsable des caries, son rôle est désormais jugé secondaire : les recherches récentes montrent que la carie résulte d’une dysbiose impliquant des consortiums de micro-organismes agissant en synergie [10]. De même, la parodontite est désormais décrite comme une maladie inflammatoire chronique initiée par des communautés microbiennes dysbiotiques qui provoquent une réponse immunitaire inadaptée de l'hôte, en partie sous l’influence de facteurs alimentaires.

La carie, la parodontite, le diabète, les maladies cardiovasculaires et certains cancers partagent donc des facteurs de risque communs, notamment alimentaires. Ces liens expliquent également les interactions bidirectionnelles entre maladies orales et maladies systémiques, souvent médiées par une dysbiose et une inflammation chronique, comme c’est le cas pour la parodontite et le diabète [11]. Par exemple, une consommation excessive de sucres ajoutés est étroitement liée, dès l’enfance, à des maladies comme les caries dentaires, le diabète de type 2, l’obésité et les maladies cardiovasculaires [12]. De même, la consommation de viande rouge est associée à une augmentation du risque de diabète de type 2 [13] et de parodontite [14]. À l’inverse, un régime alimentaire riche en légumes, fruits, amidons complets et pauvre en sucres et graisses ajoutés contribue à la prévention des maladies chroniques, notamment les affections bucco-dentaires (caries, infections parodontales, tumeurs malignes buccales) ainsi que les maladies chroniques non transmissibles [15]. Cette approche intégrée remet en question l'efficacité des prises en charge classiques, souvent limitées à un traitement symptomatique [16].

Un levier d'action aussi pour l'environnement

Par ailleurs, la production des différents groupes alimentaires n’a pas les mêmes impacts environnementaux. En France, l’alimentation représente à elle seule 25 % des émissions individuelles de gaz à effet de serre [17]. Or les produits d’origine animale, même ceux à faible impact, génèrent en moyenne plus d’émissions que leurs équivalents végétaux, y compris à quantité de protéines similaire [18]. Ces données renforcent l’importance d’un changement vers des modes d’alimentation plus durables.

Infographie 1 : Émissions carbonées par kilogramme de produit alimentaire

Source : Ritchie H, Rosado P, Roser M. Environmental Impacts of Food Production. Our World in Data [Internet]. [cité le 18 août 2025]. Disponible sur : https://ourworldindata.org/environmental-impacts-of-food+

Un régime plus végétal, comparé aux recommandations actuelles pour la viande rouge, pourrait réduire d’ici 2050 les émissions de gaz à effet de serre de 56 % et d’autres impacts environnementaux de 6 à 22 % [19]. Plus largement, la production alimentaire contribue de manière variable à l’utilisation des sols et des ressources, à la déforestation, à la consommation d’eau, à l’aggravation de risques globaux tels que l’antibiorésistance [20], ou à la pollution des milieux.

Dans les pays à haut revenu et en abondance alimentaire, la nette végétalisation de l’alimentation, la réduction des sucres ajoutés et des aliments très transformés sont au cœur du modèle du « régime de santé planétaire », élaboré par des scientifiques à partir des données de l’épidémiologie nutritionnelle et des recherches environnementales. Ce modèle « flexitarien », compatible à la fois avec les objectifs de santé publique et les limites planétaires, incluant, sans obligation, une faible part de produits d’origine animale, est le seul capable de nourrir durablement les populations tout en réduisant le risque de maladies chroniques [21]. Les aliments « à encourager », comme les fruits, légumes, céréales complètes, légumineuses et noix sont à la fois bénéfiques pour la santé et de moindre impact sur l’environnement, tandis que les aliments « à limiter », tels que la viande et les produits laitiers, présentent un impact environnemental plus élevé, et un risque pour la santé s’ils sont consommés en excès, bien qu’ils puissent apporter certains nutriments. Le modèle du EAT-Lancet constitue donc un cadre pertinent pour penser les co-bénéfices pour améliorer à la fois la santé des populations et celle de l’environnement [22].

De plus, en France, différents scénari de transformation du système alimentaire montrent que plus la consommation de viande diminue, plus la part d’aliments biologiques peut augmenter. Par exemple, réduire de 30 % la consommation de viande permet d’atteindre 30 % de bio, et la diviser par trois ouvre la voie à 70 % de bio dans l’alimentation [23], ce qui protège la santé des mangeurs, celle des agriculteurs, et la biodiversité.

Inégalités sociales, un point d’attention

Les inégalités d’accès à une alimentation saine reflètent et aggravent les inégalités sociales de santé. Par exemple la « relation sucre-caries » dépend du statut socio-économique [24]. Sans accompagnement adapté, ce facteur de risque devient un vecteur de reproduction des inégalités. Dans un contexte où la précarité alimentaire progresse en France, comme en témoigne la hausse du recours à l’aide alimentaire, les professionnels de santé peuvent jouer un rôle dans l’éducation nutritionnelle.

Mais il ne suffit pas d’informer, et l’approche ne peut pas faire peser toute la responsabilité sur le patient. Une action systémique est indispensable : régulation législative sur les produits néfastes pour la santé et l’environnement, encadrement de la publicité ciblant les jeunes, amélioration de l’accessibilité économique à une alimentation saine, et valorisation des interventions adaptées aux publics vulnérables, y compris en cabinet dentaire. Face au poids du marketing et du lobbying agroalimentaire, la réponse doit être politique et structurée. Les chirurgiens-dentistes ont alors également un rôle de plaidoyer à déployer à différents niveaux — national, territorial, communautaire — pour intégrer la santé bucco-dentaire aux politiques publiques de lutte contre l’obésité et les maladies chroniques. Cela suppose de former les professionnels et leurs équipes, de reconnaître et soutenir leur implication dans la promotion de la santé au cabinet, et de leur donner les moyens d’agir auprès des populations en situation de vulnérabilité.

Relayer les recommandations de santé publique en pratique

Tout comme un pneumologue ne peut soigner un cancer du poumon sans interroger son patient sur le tabagisme, un chirurgien-dentiste ne peut ignorer le rôle de l’alimentation dans la santé bucco-dentaire. Même avec peu de temps ou d’expertise en nutrition, il est possible de diffuser des messages simples, valorisant une alimentation colorée, locale, de saison, et, si possible, biologique. Les recommandations du Programme National Nutrition Santé (PNNS) peuvent être relayées au quotidien [25] :

  • Intégrer des fruits et légumes à chaque repas,
  • Augmenter les apports en protéines végétales avec au moins 2 repas/semaine à base de légumineuses.
  • Remplacer les céréales raffinées par des céréales semi-complètes ou complètes,
  • Limiter à 2 portions quotidiennes les produits laitiers chez les adultes et 3 chez les enfants (y compris lait, fromage, crème, beurre, plats préparés), pour limiter l’exposition aux polluants persistants.
  • Ne pas dépasser 2 portions de poisson par semaine, dont une seule de poisson gras, pour limiter l’exposition aux métaux lourds.

Les dentistes peuvent aussi orienter leurs patients vers d’autres professionnels dans une approche pluridisciplinaire : un bilan nutritionnel peut par exemple compléter utilement un traitement parodontal.

Conclusion

En somme, intégrer les enjeux alimentaires dans la pratique dentaire relève d’une nécessité de santé publique. L’alimentation est à la fois un levier de prévention bucco-dentaire et un facteur déterminant de santé globale. Les chirurgiens-dentistes, professionnels de santé de premier recours, ont un rôle clé, non seulement dans l’accompagnement individuel, mais aussi dans le plaidoyer pour des environnements alimentaires plus sains, durables et équitables.

Bibliographie

1.      Paglia L. The sweet danger of addedsugars. Eur J Paediatr Dent. 2019 Jun;20(2):89.

2.      Moynihan P, Petersen PE. Diet,nutrition and the prevention of dental diseases. Public Health Nutr. 2004Feb;7(1A):201-26.

3.      OMS. Guideline: sugars intake foradults and children. Geneva: World Health Organization; 2015. Disponible sur : https://www.who.int/publications/i/item/9789241549028

4.      Martinon P, Fraticelli L, GiboreauA, Dussart C, Bourgeois D, Carrouel F. Nutrition as a Key Modifiable Factor forPeriodontitis and Main Chronic Diseases. J Clin Med. 2021 Jan 7;10(2):197.doi:10.3390/jcm10020197

5.      Costa SA, Nascimento GG, Colins PMG,Alves CMC, Thomaz EBAF, Carvalho Souza SDF, et al. Investigating oral andsystemic pathways between unhealthy and healthy dietary patterns toperiodontitis in adolescents: A population‐based study. J Clin Periodontol. 2022 Jun;49(6):580-90.

6.      Aalizadeh Y, Khamisi N, Asghari P,Safari A, Mottaghi M, Taherkhani MH, et al. The Mediterranean diet andperiodontitis: A systematic review and meta-analysis. Heliyon.2024;10(15):e35633. doi:10.1016/j.heliyon.2024.e35633

7.      Dommisch H, Kuzmanova D, Jönsson D,Grant M, Chapple I. Effect of Micronutrient Malnutrition on Periodontal Diseaseand Periodontal Therapy. Periodontol 2000. 2018 Oct;78(1):129-53.doi:10.1111/prd.12233

8.      AssadaZ, Trada M, Valtuilled Z, Dumainea C, Fayea A, Ikowskya T, et al. Scurvy incidence trend amongchildren hospitalised in France, 2015–2023: a population-based interruptedtime-series analysis. Lancet Reg Health Eur. 2025 Feb;49:100000.

9.      Rodríguez-Molinero J,Migueláñez-Medrán BDC, Puente-Gutiérrez C, Delgado-Somolinos E, MartínCarreras-Presas C, et al. Association between Oral Cancer and Diet: An Update.Nutrients. 2021 Apr;13(4):1299. doi:10.3390/nu13041299

10. Simón-Soro A, Mira A. Solving theetiology of dental caries. Trends Microbiol. 2015 Feb;23(2):76-82.doi:10.1016/j.tim.2014.10.010

11. Wu C, YuanY, Liu H, et al. Epidemiologicrelationship between periodontitis and type 2 diabetes mellitus. BMC OralHealth. 2020;20:204. doi:10.1186/s12903-020-01180-w

12. Chi DL, Scott JM. Added Sugar andDental Caries in Children: A Scientific Update and Future Steps. Dent ClinNorth Am. 2019 Jan;63(1):17-33.

13. Gu X, Drouin-Chartier JP, Sacks FM,Hu FB, Rosner B, Willett WC. Red meat intake and risk of type 2 diabetes in aprospective cohort study of United States females and males. Am J Clin Nutr.2023 Dec;118(6):1153-63. doi:10.1016/j.ajcnut.2023.08.021

14. Altun E, Walther C, Borof K,Petersen E, Lieske B, Kasapoudis D, et al. Association between Dietary Patternand Periodontitis—A Cross-Sectional Study. Nutrients. 2021 Nov;13(11):4167.doi:10.3390/nu13114167

15. Moynihan PJ. The role of diet andnutrition in the etiology and prevention of oral diseases. Bull World HealthOrgan. 2005 Sep;83(9):694-9.

16. BergY, Gabay E, Božić D, Shibli JA, Ginesin O, Asbi T, et al. The Impact of Nutritional Components onPeriodontal Health: A Literature Review. Nutrients. 2024Nov;16(22):3901. doi:10.3390/nu16223901

17. Shift Project. Rapport Carbone 4, 2019. Faire sa part ? Pouvoir et responsabilité des individus, des entreprises et de l'Etat face à l’urgence climatique. Disponible sur : https://www.carbone4.com/files/Publication_Carbone_4_Faire_sa_part_pouvoir_responsabilite_climat.pdf

18. Poore J, Nemecek T. Reducing food'senvironmental impacts through producers and consumers. Science. 2018Jun;360(6392):987-92. doi:10.1126/science.aaq0216

19. Springmann M, Clark M, Mason-D’CrozD, Wiebe K, Bodirsky BL, Lassaletta L, et al. Options for keeping the foodsystem within environmental limits. Nature. 2018 Oct;562(7728):519-25.doi:10.1038/s41586-018-0594-0

20. Van Boeckel TP, Brower C, Gilbert M,Grenfell BT, Levin SA, Robinson TP, et al. Global trends in antimicrobial usein food animals. Proc Natl Acad Sci U S A. 2015 May;112(18):5649-54.doi:10.1073/pnas.1503141112

21. Willett W, Rockström J, Loken B,Springmann M, Lang T, Vermeulen S, et al. Food in the Anthropocene: theEAT-Lancet Commission on healthy diets from sustainable food systems. Lancet.2019 Feb;393(10170):447-92. doi:10.1016/S0140-6736(18)31788-4

22. LaineJE, Huybrechts I, Gunter MJ, Ferrari P, Weiderpass E, Tsilidis K, et al. Co-benefits from sustainable dietaryshifts for population and environmental health: an assessment from a largeEuropean cohort study. Lancet Planet Health. 2021 Nov;5(11):e786-96.

23. ADEME.TRANSITION(S) 2050 : l'enjeu de l'alimentation. Les scénarios de l'ADEME :CHOISIR MAINTENANT, AGIR POUR LE CLIMAT. Édition 2024. Disponible sur : https://www.transitions2050.ademe.fr

24. ANSES.Actualisation des repères du PNNS : étude des relations entre consommation degroupes d’aliments et risque de maladies chroniques non transmissibles. 2016.Disponible sur : https://www.anses.fr/fr/system/files/NUT2012SA0103Ra-3.pdf

25. Ritchie H, Rosado P, Roser M.Environmental Impacts of Food Production. Our World in Data [Internet].[cité le 18 août 2025]. Disponible sur : https://ourworldindata.org/environmental-impacts-of-food

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